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Dans notre route vers la commune de Varg, en France, nous trouvons choses très intéressantes. L'une d'elles est le disque que nous allons mettre sous le microscope. Vous trouverez dans un contexte : Sir John Moore était un inglesito de visage rosita qu'il n'avait pute idée de rien et qu'un bon jour était la mauvaise idée de tenter envahir la Coruña. Une fois là, ce sont tombées à photons, ou en d'autres termes,défendu la ville, créant ainsi le black métal. Entre les sexes que vous connaissez certainement la majorité d'entre vous, auquel appartient le disque d'aujourd'hui. Cela est ad Extirpenda, une bande de francesitos avec face de fromage et de BAGUETTE.
Or, amis, Cathartic ouverte avec une entrée appel ainsi, Cathartic (moi dawg).Une pièce atmosphérique avec certains claviers qui touchent mélodies qui rappellent vagamante à mélodies médiévales et féodaux de lorsque vos enfoirés ancêtres étaient travailleur le champ. Gnosis, le deuxième point, il est déjà un morceau représentative, où nous pouvons apprécier beaucoup de choses que nous allons voir le long de l'album. Riffs, comme le initial,Qui semblent ne pas de black métal ni sont ecualizados comme tel, mais que curieusement, couplés soit à l'ensemble. Parties écologiques et claviers abondent également, et bien n'ont grand poids dans les chansons, sont toujours aux moments les plus appropriés.
après une seconde morceau qui nous laisse bon goût de la bouche, nous passons à la troisième, Church of the Wolves,Avec une approche beaucoup plus atmosphérique avec de petites doses de folk féodal. Le mélange et la qualité sonore sont vraiment pauvres, ce qui dans le black est toujours un point de faveur. Ne parvient pas à être un mélange aussi abrasive comme d'autres disques classiques du genre, mais sans doute donne le sentiment que cet album a été enregistré et mélangé à l'inframundo.
Dominic and The Perfect commence très dynamique, un bon pois de guitare, environ Blast-BEATS déjà étaient de moins, et environ guturales complètent une entrée très old School. À mesure que nous avançons par celui du morceau, nous deleitaremos avec un passage atmosphérique très réussi et une partie qui est laquelle, qui serait une chose ainsi qu'avant-garde métal avec la qualité de black métal de guetto.Il est surprenant de trouver une partie ainsi en ce qui semblait être un disque placage à l'ancienne. Il nous a ravi, vous et vous?. Il vos vues par courrier ou laisser dans les commentaires, mais sans traisiones, que nous connaissons.
MOI DAWG. I heard you like listening Cathartic, so I put à Song named Cathartic so you can listen Cathartic While you listen to Cathartic.Béziers est Béziers, et cela ne vous pouvez nier toi ni tu pute mère, traité. Un point qui frôle la perfection grâce à la grande quantité de passages aussi bien réalisés et différents. Nous trouverons parties très agressive et à la fois atmosphériques, parties calmes de claviers folk, et une poignée d'riffs que nous rappellent aux grands du genre ( c'est pour tiii, Christiaaan).
Holocauste est un autre hymne bondé de riffs brutales, claviers évocateurs et guitares aiguës desquiciadas, tout cela sous une production répugnante, qui jusqu'aux claviers une qualité très. Et cela, nous soulignons que bien que les volumes soient mal réglementés, ait choses guère audibles, et tout soit de mauvaise qualité, sonne de pute mère, car ces oncles, en dépit d'être français,parviennent faire un signal unifié, comme si tout était un instrument. Une leçon de l'qui devraient apprendre beaucoup pseudo blackers d'aujourd'hui. Revenant un peu au morceau, il faut souligner les deux parties de celles qui se compose ce point, le plus long du disque, la première la plus agressive et spectaculaire, et la deuxième beaucoup plus atmosphérique et lourde, presque doom.
FLET Victus démarre avec environ beaux claviers, puis poursuivre avec riffs et (diaboliques, accompagnés de churs et mues atmosphériques. Un morceau plus chaotique dans laquelle le reste, mais avec choses très, très intéressantes. Il demeure The Inquisitor, un point beaucoup moins aimable que le précédent, avec de nombreux riffs agressifs, parties rapides et de nombreux guturales. Ainsi,Le morceau s'écoule pratiquement sans donner repos aux oreilles jusqu'à la fin. Mais nous sommes devant le point plus classique du disque, la bande a laissé des traces en ce qui concerne la partie atmosphérique et les teintures folk.
nous avons déjà à la neuvième morceau, Augustus, un point assez particulier et jusqu'quasi expérimentale, avec de nombreux éléments novateurs et classiques mélangés. Car si tel,Vous vous écoutez le disque et ce comprobáis par vous-mêmes, morceau de gorrones. Le meilleur de morceau, ce choeur humain que chante et lui donne une approche très foncé au point. Le pire, ce tapping aussi gratuite et anachronique qui marquent un certain moment, bien que nous pourrions pardonner parce que tous les autres instruments font choses intéressantes à ce moment.
ET allez, quelle surprise,Nous sommes parvenus à la dixième et dernière morceau. Ego te Absolvo est un point qui commence très agressive, mais que peu à peu est dilué entre mélodies folk de clavier et churs écologiques, et avec lui, le disque.
Cathartic est un disque unique qui fortement surpris dans la rédaction de. Le mélange de black classique avec choses pas aussi blackers est très réussie,ET réellement doit être le seul disque que mélange folk médiévale avec black sans donner puto asco. Ce disque est un must-have pour toute blacker qui se veut, mais nous estimons que peut être très difficile à digérer pour les pauvres maintenues sans expérience sur le sexe, due en partie à l'horrible qualité sonore, rappelez, dans le black est indispensable.
Repetid avec nous:
Le black JAMAIS peut avoir une bonne qualité sonore.
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