Pedro Lloros tenia la tripa triste,

Pedro Lloros tenia la tripa triste, y la tripa es lo peor que una persona puede tener afligido, porque arrastra a cualquier otro órgano del cuerpo; empezando por la mente, llenándola de la miasma de la necesidad y acaba en el corazón, supurando no poco vicio.

A Pedro Lloros y sus amigos los conocí en una reseña de El Correo Literario del 1 de julio de 1951, que firmaba un escritor vasco de nombre Ignacio Aldecoa, al que terminé persiguiendo con no poca envidia, y al que acabé plagiando (no tenía más remedio) en un cuento titulado Gente de invierno, que publiqué con seudónimo hará unos treinta años en una revista local de mínima tirada que espero haya desaparecido por completo.

Pedro Lloros se alimentaba de sueños que es el mejor manjar de un pobretón. Pescador era bueno; ladrón algo torpe; vago, muy vago. Odiaba a los gimnastas.

Résultats (Français) 1:

Peter Cris avaient triste intestin et intestin est la pire chose qu'une personne peut avoir affligé, parce que faire glisser vers n'importe quel autre organe du corps ; à partir de l'esprit, emplissant les miasmes de la nécessité et se termine au cœur, qui suinte de quelque Vice.Pleure de Peter et ses amis rencontrés dans un examen du courrier littéraire le 1er juillet 1951, qui a signé un écrivain Basque nommé Ignacio Aldecoa, fini que courir après sans aucune envie de peu et il a fini par plagier (avait pas le choix) dans un article intitulé les gens de l'hiver, que j'ai publié sous pseudonyme il y a dans un magasin local de circulation minimale qui j'espère une trentaine d'années a complètement disparu.Cris de Peter se nourrissent les rêves qui est la meilleure finesse d'un pauvre. Fisher était bon ; un peu maladroit voleur ; paresseux, trop paresseux. Je détestais les gymnastes.

Résultats (Français) 2:

Pedro a eu le courage Lloros tristes, et les tripes est la pire chose qu'une personne peut être affligé, car il attire tout autre organe du corps; à commencer par l'esprit, le remplir avec les miasmes de la nécessité et se termine dans le cœur, pas seulement suintant vice. Une Lloros Pedro et ses amis rencontrés dans une revue littéraire du Courrier de 1 Juillet 1951, il a signé un écrivain basque Nom Ignacio Aldecoa, qui a fini par chasser sans peu d'envie, et je fini par plagier (pas eu le choix) dans un article intitulé Les gens hiver, je publiais sous un pseudonyme fera la trentaine à une distance magazine minimum local que l'espoir a disparu. Pedro Lloros nourrissait des rêves est la meilleure délicatesse d'un indigent. Pescador était bon; voleur maladroit; vague, très vague. Il détestait les gymnastes.