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SEAT a décidé il y a quelques années, de la main du précédent président James Muir, débarquer en Chine, où il est arrivé à des accords pour ouvrir concessionnaires et commencer à vendre certains des modèles de la marque (les nouveaux Ibiza et León, et le Alhambra), opération préalable à la possibilité d'installer une usine propre.
Stackmann a refroidi aujourd'hui l'élan avec le que Muir parlait de pari par la Chine et a indiqué qu'il "dans les deux dernières années, le marché chinois a beaucoup changé".
pour le moment, SEAT maintient en place une preuve de marché en Chine, une fois achevée,devrait servir pour décider si la marque doit positionner là et ouvrir une usine déjà que l'importation de voitures de Martorell (Barcelone) n'est considéré comme une bonne stratégie pour approfondir ce marché.
"Il convient de voir s'il vaut la peine. Ce pari implique de gros investissements", a affirmé, faisant observer qu'il n'existe un calendrier,Ni même de quand elle pourrait être achevée l'étude.
le président de SEAT espère que le pari sur le marché le plus proche comme c'est le d'Afrique du Nord et le de l'Europe (où exporte 80 % des véhicules) puisse être suffisant pour que la marque aboutisse à la rentabilité de l'qui fait actuellement défaut.
de fait,Il a été montré convaincu que la marque peut réaliser des bénéfices sans être en Chine.
sur cette ligne, a indiqué qu'il n'est possible faire "une prévision crédible" sur à quel moment la signature parviendra laisser derrière les numéros rouges (30 millions d'euros de pertes en 2012).
pour le moment,Le directeur allemand préfère se concentrer sur le présent et consacrer les énergies entreprises "à travailler ici et maintenant avec de bons produits" et avec une stratégie qui passe par saisir la structure des coûts et rentabiliser les investissements ont fait dans le lancement de la famille du Lion.
Stackmann espère que le marché espagnol "a déjà touché fonds" et qui puisse commencer à être une certaine stabilisation des ventes. "La situation en Espagne nous fait tenir un optimisme contenu", a dit.
ce qui concerne l'importance de parvenir à la passation en attente d'un SUV -un todocamino, hybride entre tourisme et terrestres- de la part du groupe Volkswagen,Stackmann a assuré que ce modèle "cadre" avec l'approche de SEAT et qui peut avoir un rôle pour aider la marque à gagner rentabilité.
de toutes façons, a assuré que SEAT doit élaborer et de présenter en premier lieu un "projet rentable" pour prétendre à la fabrication de ce nouveau véhicule, et a averti que obtenir ce modèle " n'est pas facile".
L'équipe commerciale de la compagnie automobile devrait consacrer une grande partie de ses efforts dans les prochains mois, l'Algérie, qui est déjà le cinquième marché de SEAT, outre aux marchés européens qui fonctionnent bien comme l'Allemagne et en Angleterre.
En outre, la marque également la vue mise au Mexique, où se pose introduire avec force en Nuevo León.
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